concert
2023
Jeudi 15 Juin 2023 20h00 au Café De La Danse à Paris
Vendredi 07 Juillet 2023 20h30 à Cenon , Dans le cadre du festival HAUTS DE GARONNE
Mercredi 19 Juillet 2023 à 21h00 à Junas , Dans le cadre du festival JAZZ A JUNAS
Jeudi 20 Juillet 2023 à 19h00 à Millau , Dans le cadre du festival MILLAU JAZZ FESTIVAL
Samedi 22 Juillet 2023 à 20h00 à Meze , Dans le cadre du festival FESTIVAL DE THAU
Reportage au festival SUN ART à Pertuis le Samedi 28 Juillet 2012
© Salah Mansouri
BIOGRAPHIE
Générosité, sensualité et talent sont les premiers mots qui viennent à l’esprit quand on veut parler de Sandra Nkaké. Chanteuse et comédienne, elle a commencé la musique par un hasard qui fait bien les choses !
En effet, elle rallie tout d’abord le monde des saltimbanques via les "Soultimbanques", rejoignant sur scène Kova Réa et son groupe lors des fameuses soirées du même nom au Divan du Monde. Elle fait ainsi son entrée dans la scène groove parisienne.
S’enchaînent ensuite depuis une dizaine d’années les rencontres musicales allant de Melvin Van Peebles, Gérald Toto, China, Mozesli, Juan Rozoff, Sandy Cossett, Stefan Filey, Tony Allen, Julien Lourau, jusqu’aux Troublemakers, Nouvelle Vague, Booster… et aussi David Walters et Amp Fiddler, qui ont tous craqué sur sa voix et sa personne. Plusieurs concerts ont marqué ces derniers mois : premières parties des Headhunters, de Sheila E, ou encore d’Incognito… mais on l’a aussi admirée en tête d’affiche : au New Morning, à l’Opus… Elle a plus récemment était invitée par Franck Biyong au festival de jazz à Vienne. Et s’est aussi produite sur divers festivals : Pont du Gard, Montpellier…
Lire la suite... Aujourd’hui, après de nombreuses collaborations musicales, elle se lance enfin en solitaire, façonnant un répertoire à la juste mesure de sa voix, envoûtante et profondément soul, excellemment mise en orbite par les pointures du groove parisien... Sa musique lui ressemble : tour à tour tendre, douce, légère, crue ou directe.
Elle traduit une personnalité riche et multiple : celle d’une femme d’aujourd’hui qui ne mâche pas ses mots et qui n’a pas peur de se montrer fragile. "Ce que je veux, c’est essayer d’être le plus proche de moi-même ! Prendre du plaisir, pour en donner. Mes chansons sont comme des Polaroïds de ma vie, de nos vies, nos peurs, nos envies".
Accompagnée par ses amis : Didier Combrouze (guit. & voix), Guillaume Farley (bass & voix), Vincent Théard (keys), Lawrence Clais (drums), et Booster (prog. & sound design), elle est une habituée des scènes parisiennes et se produit régulièrement au China Club, à l’Opus… En 2006, elle fut à plusieurs reprises l’invitée de Radio Nova, notamment à la Villette pour le concert des 25 ans de la radio aux côtés de Juan Rozoff et David Walters.
Elle se concentre actuellement sur la sortie – tant attendue –, (prévue pour début 2008), de son premier album solo Mansaadi, écrit avec Vincent Théard, et prépare activement ses prochaines scènes, car c’est là qu’elle se sent « chez elle ».
La diva a plus d’une corde à son arc, artiste complète, personnalité à plusieurs facettes, elle mène de front carrières musicale et dramatique. En effet, tout naturellement sa personnalité et son charisme l’ont poussée à explorer d’autres horizons artistiques, notamment le théâtre.
C’est auprès de Thomas Le Douarec, que Sandra Nkaké fait ses premiers pas sur la scène théâtrale.
La rencontre avec ce dernier est décisive, il la met en scène dans deux pièces : Les Sorcières de Salem d’Arthur Miller, puis Le Dindon de Feydeau. Sandra Nkaké y est tour à tour pétillante et malicieuse. C’est ensuite avec Alain Maratrat et Phyllis Roome qu’elle enchaîne avec Sans crier gare et Zig-Zag, histoires de femmes d’ici et d’ailleurs, spectacles liant jeu et chant.
Descendue des planches, on la découvre sur les écrans dans des téléfilms parmi lesquels Les Enfants du printemps (avec Michel Aumont et Pierre Arditi), ou plus récemment L’Évangile selon Aimé aux côtés d’Isaac de Bankolé et Valérie Mairesse… mais aussi au cinéma dans Bienvenue au gîte de Claude Duty.
Pour le cinéma toujours, elle prête sa voix pour différentes bandes originales, notamment : Le Sourire (Claude Miller), Bienvenue au Gîte et Filles perdues cheveux gras (Claude Duty), dont elle interprète la chanson du générique. Par ailleurs, elle réussit à exprimer ses deux talents dans une pièce hommage à la diaspora noire à travers des contes afro-caribéens et des chants afro-américains, Un aller pas si simple, écrite et partagée avec la conteuse et ethnologue Praline Gay-Para.
En 2005, on a pu la voir et l’entendre au Théâtre de l’Est Parisien, dans le rôle de Lady Beltham, maîtresse de Fantômas dans la comédie musicale funk-baroque déjantée Fantômas revient de Pierre Pradinas (musique de Christophe Mink et Dom Farkas), aux côtés de Romane Borhinger, Jean-Fi Dary, David Ayala, et Thierry Stremler entre autres. (Tournée dans toute la France en automne 2006).