2018

LES STATUES ENGLOUTIES (À partir de l’exposition LES TERRES DE L’HOMME) 

du 20 et 26 AOUT 2018 à proximité du port de DOUARNENEZ. (port du Rosmeur).



Englouties lors des marées hautes puis dévoilées le temps des marées basses, cet évènement sera diurne et nocturne six jours durant.

Ces douze sculptures de terre cuite sont les émissaires et les dignes représentants des peuples autochtones aujourd’hui en souffrance à travers l’ensemble de la planète.

Un chapiteau à proximité comprendra un ensemble scénographique où seront proposées des rencontres avec l’auteur, des lectures ainsi que des conférences/débats sur la question des peuples autochtones et de l’écologie qui nous revient en écho.

Exposition Les Terres des Hommes

A partir du 20 octobre 2014 - Hall de L’Hôtel de Ville de Saint-Nazaire

La Ville de Saint-Nazaire propose l’installation de sculptures de Lionel Ducos Les terres de l’Homme dans le hall de l’Hôtel de Ville.

Hommage aux peuples dits « premiers », cette installation met en scène onze personnages en terre cuite qui sont une invitation à s’interroger sur le devenir de la Terre et la question de l’Homme comme son propre prédateur.

Le hall de l’Hôtel de Ville de Saint-Nazaire, ville ouverte sur le monde, est la plate-forme symbolique idéale pour accueillir cette installation et diffuser la pensée humaniste de Lionel Ducos.

Exposition accessible du lundi au vendredi de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30

Hôtel de Ville de Saint-Nazaire
Place François-Blancho

44600 Saint-Nazaire Tèl : 02 40 00 40 00

Les Terres de l’Homme Lionel Ducos sculpteur

jusqu’au 1er sept 2013

Terrasse panoramique de l’écluse fortifiée (Espadon) Saint-Nazaire

Proposée par le Département de Loire-Atlantique avec le soutien de la ville de Saint-Nazaire

Projection-conférence avec Patrick Bernard, ethnographe,
auteur et réalisateur. Président fondateur d’ICRA International,
du Fonds pour la sauvegarde des Cultures Autochtones et de
la Fondation ANAKO.

>Renouveau indigène

Documentaire réalisé par Patrick Bernard et Ken Ung, 52 min,
2009.
Dans les retranchements les plus secrets de la planète survivent
quelques peuples de chasseurs-cueilleurs, nomades ou
sédentaires, qui auraient eu, si nous avions su les respecter,
beaucoup à nous apprendre...

>Kuarup, la Joie du Soleil

Documentaire réalisé par Patrick Bernard et Ken Ung, 52 min,
2010.

Encouragés par l’équipe de la Fondation ANAKO les Indiens
Yawalapiti apprennent aujourd’hui à manier la caméra. Ils filment
leurs grand processus rituel fondateur du Kuarup qui s’étale
sur de nombreux mois et constituent ainsi une mémoire ines
timable pour les générations futures

DECORATEUR DE SPECTACLE ET SCULPTEUR DE REVES…

Après des années consacrées au spectacle vivant et aux festivals (par définition éphémères) l’artiste renoue avec sa formation initiale de sculpteur (diplômé de l’Ecole nationale des Beaux Arts en 1975 avec félicitations du jury).

Depuis 18 ans il a réalisé la scénographie et les décors de nombreux festivals dont certains très médiatiques comme les TOMBÉES de la NUIT à RENNES, les ESCALES de ST NAZAIRE, les FRANCOFOLIES de la ROCHELLE et le FESTIVAL du CINEMA BRITANNIQUE de DINARD. Les décors prennent forme les uns après les autres, sans que rien ne puisse résister à son envie de créer ! Décors de bars à thème, décor de scène, décors de loges d’artistes (Higelin, Cali, Lavilliers, Gréco, Bashung etc. ) mais aussi décors de salles de concert, décors d’événement d’entreprise et scénographies d’expositions pour le Muséum national d’Histoire naturelle de la Ville de Paris. Sans compter le nombre de fresques murales géantes dont certaines ont pu défrayer la chronique.

Le sculpteur et scénographe Lionel Ducos pour les 20 ans ....en 2011

Lionel Ducos habille les arbres à palabre et les "camions brousse"

Le sculpteur et scénographe Lionel Ducos ( vous savez ?, c’est lui qui etait a l’initiative de la grande fresque géante qui représentait un paquet de Gitanes en 2000) ,a imagine cette annee un voyage , au bout du monde, en afrique ? ou ailleurs , peu importe , le principal c’est d’avoir un "camion brousse " pour emmener les festivaliers, les feteurs , les curieux dans ce voyage imaginaire.

rencontré aux francofies de la rochelle, lionel me confiat cette aventure , pendant un an , il a silloné toutes les casses, demandé à ses nombreux amis , de lui trouver un "camion" et de le remplir, matelat, lampes, velos,.un camion charge dhistoire et d"espoir des immigrants..

le "fou" a encore frappé, le bosquet du festival , a été changé, les arbres à palabres endimanchés, la piste de dance ou avait officié RKK l’annéee derniere est reservé cette année à MO DJ, ...les platines à deux metres du sol, la piste de dance , rouge de terre africaine. le bar en plance de recup.. le voyage au bout du bosque , au fond , tout au fond du festival, il vous reste un jour pour voyager...
Salah Mansouri

voir le reportage photos

Lionel Ducos est né en 1954 à Nantes.

Diplômé de l’École des beaux-arts, il est honoré d’une invitation par la Villa Médicis, mais nous sommes alors dans les années soixante-dix…

Un vent de révolte et de sable emporte l’artiste à travers l’Afrique et le Sahara sur les pistes humanitaires, avec Nicolas Bouvier et Claude Lévi-Strauss au fond des poches trouées…

Les premières lignes de Tristes Tropiques commencent par « je hais les voyages et les explorateurs ». Cette même ambiguïté accompagnera Lionel Ducos toute sa vie où il refusera de pratiquer une démarche artistique strictement repliée sur elle-même.

Après de nombreuses années consacrées à l’enseignement, il devient décorateur de théâtre. Pendant 20 ans il sera tour à tour scénographe de passage aux Tombées de la nuit de Rennes, permanent des Francofolies de La Rochelle, complice des Escales de Saint-Nazaire, intervenant au Festival du Film Britannique de Dinard, muséographe pour le Muséum national d’Histoire naturelle de la ville de Paris. Un homme toujours de passage et au service d’autres causes.

Puis une rencontre décisive se fait à Essaouira avec un aventurier de la vie : Alain Billy (écrivain et humaniste). C’est à partir de là que l’artiste, en 2010, finalement s’impose et invente une réconciliation avec l’art auquel il avait accidentellement tourné le dos. Naît alors le projet « Les Terres de l’Homme ». Il nous propose aujourd’hui une juste alliance entre la sculpture et l’humanisme qui l’a construit et accompagné à travers le monde et ses contemporains.