concerts
2018
1er édition du Festival "Libre d’Accès"
le Vendredi 26 octobre 2018 de 20:30 à 23:00
Salle des Fêtes de l’Hôtel de Ville de Rosny-sous-Bois
le 25 Mai 2018 à Suresnes , dans le cadre du Festival Blues sur Suresnes - © Salah Mansouri
Hommage à BB King par KARIM ALBERT KOOK à Paris © Salah Mansouri
Bio Karim Albert kook
Né un soir de Janvier à Alger, dans le quartier d’Hussein Dey, c’est en France que Karim Albert Kook, venu chercher les soins nécessaires à une maladie qui aura raison de sa mobilité, passe son enfance. A l’aube de ses 9 ans, il découvre les Rolling Stones, les Beatles et l’incontournable Jimi Hendrix. Cadeau magique et décisif : la guitare que lui offre alors son frère déterminera sa destinée. Karim, déjà imprégné par le blues, sent alors que la musique (sans limitation de genre) sera sa voie.
A peine 16 ans et les rencontres vont s’enchaîner. D’abord Jerry Cooper complice de Fela, puis lors de jams parisiennes, David Koven compagnon des premières heures, Bill Thomas, Patrick Verbeke, Amar Sundy, Paul Orta, Peter Nathanson, Bernard et bien sûr, Luther Allison ; autant d’artistes qui apparaîtront sur ses premières réalisations, dont « les choses ressemblent à ça » sortie en 1997 sur le label Magic blues/night & day et « Je roule vers toi » apparu en 2000 chez dixiefrog/night & day. Viennent alors les festivals et les grandes salles, notamment le Palais des Congrès en première partie de Popa Chubby et de B.B. King.
Le coeur à Alger et l’âme en Louisiane, voyageur inspiré, riche de ses origines, mais toujours pour les faire partager, année après année la musique de Karim se rapproche de ses racines du Maghreb
Si le voyage est long de Hussein Dey à Barbès, le trait d’union entre ces deux villes est assurément musical.
World signifie monde et celui de Karim Albert Kook est aussi vaste que les sonorités évoquées dans ce dernier opus, Barbès City Limit Blues.
Des chansons à l’âme bluesy pour une transe sortie des mille et une nuits, dédiée à l’Afrique dans son ensemble.